DURMSTRANG INSTITUTE ~ projet hp/dt

Dans la Salle des Répartitions, une épée est placée au centre, ancrée dans une pierre. Chaque nouvel élève doit alors poser ses mains dans la lame et attend quelques instants. En fonction du clan dans lequel il sera, la lame réagit à la personnalité et au sang de l’individu. Aprè quelques instants, le nouvel élève retire ses mains de la lame et regarde alors ses paumes. Si elles sont brûlées vives, ou alors s’il y a eu aucun effet. Chaque nouvel élève digne de ce nom espère que la lame brûlera leurs paumes.

Le Clan Svarog – Considéré comme le clan élitiste et le plus légitime de Durmstrang, le premier clan est nommé Svarog, en l'honneur du dieu slave de la puissance et du feu. Les élèves dont les paumes ont été ravagées par la lame de Raspoutine se retrouvent généralement dans ce clan. Ils sont pour leur majorité des jeunes gens très avenants, les plus prometteurs de l'établissement, souvent de sang-pur, et d'une intelligence remarquable. L'emblème de ce clan est le symbole du dieu Svarog lui-même, à savoir un majestueux dragon de bronze cracheur de feu.

Le Clan Svantovít – Les élèves dont les paumes furent roussies, effritées par la lale de Raspoutine sont prédestinés au clan Péroun. Faisant honneur au dieu slave de la guerre, les personnes téméraires et ayant un esprit guerrier, de violence seront placés là.

Le Clan Bělbog – Considéré comme le clan de la risée et de la honte, seules les personnalités faibles ou ayant vécus des traumatismes qui les ont rendus vulnérables sont envoyés ici ; en effet, leurs paumes ne réagissent pas au contact de la lame. Ce clan représente le Dieu de la Bonté.

directeurs ➝ libres

professeur de magie noire ➝ libre
professeur de maléfices ➝ libre
professeur d'histoire de la magie ➝ libre
professeur d'alchimie ➝ libre
professeur de citoyenneté ➝ libre
professeur d'instruction physique ➝ libre
professeur de métamorphose ➝ libre
professeur de mysticisme ➝ libre
professeur de pyromancie ➝ libre
professeur d'étude des runes ➝ libre
professeur de religion ➝ libre
professeur de savoir-vivre ➝ libre

bibliothécaire ➝ libre
palefrenier ➝ libre
infirmier ➝ libre
veilleurs ➝ libres
jardiniers ➝ libres
serviteurs ➝ libres

les matières enseignées :

Réputé pour la dureté et le rythme soutenu de ses enseignements, l'établissement de Durmstrang impose des emplois du temps très stricts et très remplis à la majorité de ses élèves. Ceux-ci ont généralement des semaines chargées de 39 heures. Certaines matières, spécifiques à l'institut, sont justement enseignées pour instaurer aux jeunes sorciers l'unique ambition du dépassement de soi. En effet, la loi du plus fort prime à Durmstrang et nombre de domaines d'enseignement permettent aux uns et aux autres de repousser leurs limites, afin d'atteindre l'excellence. Ainsi, malgré les réticences internationales, l'établissement de Durmstrang conserve depuis des siècles un cours d'instruction physique très dur et un cours d'art de la magie noire, qui ne fait toujours pas l'unanimité.

Suivant les valeurs ancestrales de son patrimoine, Durmstrang met également en avant l'excellence de la lignée, et la pureté du sang de l'élève. Les sang-purs, considérés comme l'élite de l'école, ont donc accès à des cours plus prestigieux. Sur les 39 heures qui composent leur emploi du temps hebdomadaire, 6 sont réservées aux cours prestigieux. Durant ces 6 heures, les sang-impurs, qui ne peuvent assister à ces cours spéciaux, ne sont pas relâchés pour autant. Ils sont au contraire contraints à des travaux d'intérêts généraux pour ne pas que les heures soient perdues pour autant.

Voici la liste des matières enseignées au sein de l'établissement de Durmstrang, par ordre d'importance d'heures par semaine :

- art de la magie noire : Spécifique à Durmstrang car faisant partie de son histoire la plus sombre, le cours de magie noire, considérée comme le plus prestigieux, est néanmoins ouvert à tous, sang-purs comme sang-impurs. En dépit des polémiques, l'apprentissage des forces occultes continue d'être la matière la plus privilégiée de Durmstrang. Il s'agit du cours ayant le plus d'importance dans l'emploi du temps de n'importe quel élève de Durmstrang, puisqu'il comprend une partie théorique et une partie pratique - le cours est ainsi divisé en deux durant toute la semaine, assurant autant d'heures de théorie que d'heures de pratique. Y est enseigné, entre autres, l'art de repousser et d'apprivoiser les créatures les plus redoutées, telles que les inferi ou les détraqueurs. L'emploi des sortilèges impardonnables y est, bien entendu, plus que fréquent. (8 heures/semaine)
- maléfices et incantations : Ce cours-ci est sans aucun doute le plus commun à toutes les universités magiques ; on y apprend généralement les sorts de base, la magie la plus élémentaire destinée à la vie de tous les jours. A Durmstrang, on le nomme le cours de maléfices et incantations, et il possède sa petite face cachée. On y enseigne aussi bien les sortilèges de magie blanche que de magie noire, sans pour autant empiéter sur le programme d'art de la magie noire. Au fil des années, des enchantements plus complexes sont abordés. Ce cours est en grande partie théorique. (5 heures/semaine)
- histoire de la magie : L'institut du Durmstrang a mis un point d'honneur à redorer le blason du cours d'histoire de la magie, habituellement considérée comme la matière ennuyante par excellence. Ici, l'histoire de la magie est une matière assez pesante dans l'emploi du temps et plutôt suivie avec attention par les élèves. En effet, le cours s'attache à décrire aussi bien le glorieux patrimoine de l'établissement que l'histoire de la communauté magique russe. Généralement, les opinions soulevées en cours sont très propagandistes, et le professeur n'omet jamais de souligner que les grands bâtisseurs de notre histoire furent de grands sorciers russes, robustes et intelligents, et au sang-pur. De plus, quelques notions de littérature magique russe y sont fréquemment abordés. (5 heures/semaine)
- alchimie : L'art de la fabrication des potions combiné à celui de manipuler les métaux a donné naissance à cet enseignement mystique qui est, une fois de plus, uniquement relatif à Durmstrang. Dans un premier temps, les élèves se contentent d'apprendre les bases en potions, telle que se servir d'un chaudron ou telle qu'apprendre à reconnaître certains ingrédients. Une fois qu'ils ont acquis un large savoir en poisons et élixirs, les élèves commencent leur étude des métaux. A l'issue de cette longue étude, ils peuvent envisager de toucher du doigt ce fabuleux rêve qui a longtemps hanté la communauté sorcière, celui de transformer le plomb en or, en confectionnant leurs propres pierres philosophales. On raconte même que la présence d'un puissant maître alchimiste serait absolument nécessaire pour la création d'un horcruxe. (3 heures/semaine)
- citoyenneté : Si le cours d'histoire de la magie est propagandiste, celui de citoyenneté est bien pire. La seule raison pour laquelle ce cours n'est pas encore interdit par les autorités magiques internationales est sans aucun doute l'empressement de Durmstrang à essayer d'étouffer toutes les fuites qui pourrait y avoir. L'institut se contente de fermer les yeux et de faire taire quiconque voudrait répéter ensuite le contenu de ce cours. Tout bonnement insoutenables pour les sangs dits "impurs", l'intérêt majeur de ce cours est fondé sur le dégoût pour le sang moldu. A côté de cela, la citoyenneté est le seul cours qui propose de soulever des questions de société, sous forme de débat plus ou moins censuré. Officiellement, l'enseignement de cette matière serait important pour éveiller les devoirs civiques sorciers et l'esprit critique en chacun. Officieusement, c'est la même chose, sur fond de haine raciale et de patriotisme excessif. (3 heures/semaine)
- instruction physique : L'institut de Durmstrang est le seul à avoir conservé un enseignement physique et sportif obligatoire. Le cours d'instruction physique se déroule en plein air et met, le plus souvent, ses participants à rude épreuve. Le but de cette initiation hebdomadaire est d'épuiser mentalement et physiquement les élèves, de leur faire puiser dans leurs ressources pour se dépasser, et de transformer leurs faiblesses en forces. Bien entendu, l'intérêt principal est tout d'abord de se défouler, après des heures passées assises à écouter. Au programme de cette matière un peu à part, natation, traques de créatures sauvages, maniement des armes, courses d'endurance et d'orientation, sports collectifs, et bien d'autres. Le contenu du cours change toutefois en fonction du professeur et des années. Une initiation à la survie, durant plusieurs jours et laissant les élèves aux prises avec les étrangetés de la forêt, est généralement organisée au début de l'ultime année. (3 heures/semaine)
- métamorphose : Alors qu'il a une place névralgique dans certaines écoles de sorcellerie, le cours de métamorphose est, à Durmstrang, considéré comme bien moins important. Au hauteur de deux heures par semaine - une pour la théorie, une pour la pratique, comme beaucoup de matières -, ce cours demande une écoute et une concentration des plus importantes pour parvenir à s'améliorer d'heure en heure. Le plus talentueux des plus talentueux parviendra peut-être, en fin de parcours, à devenir un brillant animagus ; alors que la grande majorité n'aura toujours pas réussi à transformer une simple pomme en plume, la métamorphose n'étant décidément pas la spécialité de Durmstrang. (2 heures/semaine)
- astronomie : Le cours d'astronomie n'est pas très populaire au sein de l'établissement. L'enseignement ne semble guère palpitant à première vue. Et à seconde vue, non plus. Il consiste en l'observation et en l'étude des emplacements, des mouvements et des particularités des différents astres. En effet, certaines étoiles ou planètes ayant une influence particulière lors de la concoction de potions ou de certains enchantements, il est dans l'intérêt des jeunes sorciers d'apprendre à repérer ses effets, au moyen de la carte stellaire, et de ses interprétations. Seuls les plus grands astronomes peuvent, comme certaines créatures, réussir à lire l'avenir dans les étoiles. Même si les professeurs n'aiment pas particulièrement qu'on leur rappelle, l'astronomie est, de loin, la matière enseignée à Durmstrang qui ressemble le plus à un domaine d'enseignement moldu. (2 heures/semaine)
- mysticisme : Malgré le fait qu'il soit quelque peu mis de côté aujourd'hui, il s'agit de l'un des plus anciens enseignements que compte l'établissement. S'il y a, certes, des rumeurs qui circulent autour du contenu soit-disant sombre de ce cours, elles sont cependant totalement infondées. Le mysticisme regroupe en vérité tous les dérivés de la divination ; autrement dit, de l'art de prédire l'avenir. A chaque heure, les élèves découvrent une nouvelle manière de lire le futur et se forcent à apprendre les différentes interprétations de tel ou tel résultat. On y enseigne diverses méthodes, telles que les boules de cristal, les feuilles de thé, ou encore la cartomancie. C'est aussi un cours où l'on peut librement s'exprimer et parler de ses rêves, pour que le professeur en interprète la cause. Mais en dépit des murmures de chacun dans l'établissement, on n'y pratique pas encore, hélas, la nécromancie. (2 heures/semaine)


Voici la liste des matières réservées aux sang-purs au sein de l'établissement :

- pyromancie : Parmi les secrets les mieux gardés dans Durmstrang, on trouve ceux de la pyromancie, ou art du feu. Il s'agit de l'arcane la plus ancienne et la plus dangereuse que la Russie ait connue et que l'institut, fier de ses origines et de ses facultés, a décidé de perpétuer. Comme il s'agit de l'enseignement prestigieux par excellence, seuls les sang-purs y ont accès, naturellement. Bien que la pyromancie n'a que deux heures par semaine qui lui sont consacrées, ces deux heures sont en général intenses et fortes en expérience. Les élèves y apprennent peu à peu à créer le feu au sein de leurs paumes et à le manipuler. Au terme de quelques années, ils sont en principe déjà capables d'en faire une arme dévastatrice. La dernière épreuve à réussir, pour un élève pyromant, est celle de pouvoir cracher des flammes de sa bouche, tel un dragon. La matière est cependant rude et peu y arrivent. (2 heures/semaine)
- étude des runes : Si la pyromancie semble réservée aux habiles et aux endurants, l'étude des runes, autre matière strictement élitiste, est cependant accessible aux plus patients et aux plus attentifs. L'étude des runes se consacre donc à l'assimilation de l'alphabet runique et à l'interprétation d'anciennes inscriptions runiques. L'institut de Durmstrang ayant traversé les âges, nombre de dalles du château portent encore des messages codés en runes, qui n'ont pas encore dévoilés tous les secrets. En plus d'être une matière facile si l'on est consciencieux et un minimum intéressé, l'étude des runes promet également d'être aventureuse, en dépit d'un premier aspect un peu fade, et pourrait aboutir à la découverte de catacombes secrètes que mêmes les professeurs ne sont jamais parvenus à ouvrir. (2 heures/semaine)
- occlumancie et legilimancie : L'élite de Durmstrang se doit d'avoir l'instruction la plus parfaite et surtout la plus complète. Ainsi, on va même jusqu'à enseigner l'occlumancie et la legilimancie aux jeunes sang-purs, afin de les préparer à contrer les assauts mentaux de leur ennemi ou au contraire afin de les préparer aux tortures psychologiques qu'il devra engendrer en explorant les souvenirs d'une personne. Dans un premier temps, les élèves doivent se soumettre aux incursions du professeur dans leurs esprits, devant ainsi les pousser à dresser une barrière mentale contre leur agresseur. Puis, le professeur termine l'année en enseignant les secrets de la legilimancie. Les élèves sont alors contraints d'user de leur legilimancie contre leurs camarades, et ce, malgré les risques évidents. (2 heures/semaine)


le déroulement des années :

Le système scolaire de Durmstrang est largement différent de certains systèmes scolaires occidentaux. En effet, il prévoit un total de cinq années scolaires, intensives et riches, d'où les jeunes sorciers sortent en principe majeurs et diplômés. L'âge prescrit pour intégrer la première année de cours de l'institut Durmstrang est quinze ans. C'est-à-dire qu'à la rentrée du 1er Septembre, le jeune sorcier doit déjà avoir fêté ses 15 ans. S'il est né en fin d'année, il devra patienter l'année prochaine pour suivre les cours de première année. Sauf incident de parcours, l'élève sort donc de l'établissement, au terme de cinq années de cours, à 20 ans.

Récapitulatif :
15 ans ; première année de cours.
16 ans ; deuxième année de cours.
17 ans ; troisième année de cours.
18 ans ; quatrième année de cours.
19 ans ; cinquième année de cours.

les lignées pures de russie :

La famille Абрамович, ou Abramovitch est la famille influente russe par excellence. Extrêmement bien considérés par leurs pairs, les Abramovitch ont toujours su s'imposer en société et d'autant plus en politique. On ne compte désormais plus les Abramovitch ayant accédé à des hauts postes de la communauté magique. Certains d'entre eux ont même parvenu à exercer la prestigieuse fonction de ministre de la magie russe. Prête à tout pour conserver la soit-disant pureté de son sang, la famille Abramovitch n'hésite pas à multiplier les mariages arrangés entre autres familles pures voire même parfois entre cousins éloignés de leur propre ascendance. En concurrence directe avec les Karkaroff, ils sont cependant aujourd'hui les sorciers les plus puissants de Russie. L'actuel ministre de la magie russe se nomme d'ailleurs Vladimir Abramovitch.

première branche ∞ deux membres vivants.
- membre jouable.
- membre jouable.

deuxième branche ∞ un membre vivant.
- membre jouable.

troisième branche ∞ quatre membres vivants.
- membre jouable.
- membre jouable.
- membre jouable.
- membre jouable.


La famille Валepиeв, ou Valeriev (...)

La famille Гриплeиeв, ou Grimpleiev était autrefois l'une des plus puissantes de Russie, son emprise dépassant même celle de la famille Abramovitch sur le pays. Au fil du temps, et des machinations de certains pour les déposséder à tout prix, les Grimpleiev devinrent de moins en moins bien considérés. Ils perdirent peu à peu leur réputation comme leurs biens, et furent finalement contraints à souiller leur pureté de sang légendaire en mariant des sang-mêlés, contre quelques fortunes en gages de dots. Leur richesse n'en fut que passagèrement plus grande, tandis que leur honneur et leur dignité s'épuisaient. Désormais estimés comme une famille à éviter, les Grimpleiev essayent tant bien que mal de reconstituer leur gloire d'antan, en se livrant à de la vaine propagande incitant à la haine raciale.

seule branche ∞ trois membres vivants.
- membre jouable.
- membre jouable.
- membre jouable.


La famille КаркaроФ, ou Karkaroff est également l'un des lignées de sang-purs les plus puissants en Russie. Exerçant un contrôle sans borne sur la justice magique russe et sur l'institut de Durmstrang, les Karkaroff n'ont plus de réputation à bâtir. L'histoire de cette famille partie de rien et qui a finalement réussi à s'imposer à tout un peuple s'est en effet diffusée dans toute l'Europe, jusqu'aux frontières britanniques ou françaises. Haïs par les Abramovitch, dont ils sont les plus sérieux concurrents au contrôle du pays, ils persistent à clamer haut et fort leur amour de l'héritage culturel russe et l'importance qu'ils accordent à la pureté du sang. Les Karkaroff ont, depuis bien longtemps, exprimé leur attachement personnel à l'institut du Durmstrang. Tous y ont étudié, certains y ont enseigné, d'autres l'ont même dirigé. L'actuel directeur de l'établissement est d'ailleurs Piotr Karkaroff.

première branche ∞ un membre vivant.
- membre jouable.

deuxième branche ∞ cinq membres vivants.
- membre jouable.
- membre jouable.
- membre jouable.
- membre jouable.
- membre jouable.


La famille Козловский, ou Kozlovski (...)

La famille Назаров, ou Nazarov est l'une des plus anciennes et prestigieuses lignées pures de Russie. Longtemps mal considérés, car assimilés à des formes extrêmement noires de magie, les Nazarov ont cependant su regagner la confiance de la plupart de la communauté magique, en apportant leur soutien, entre autres, aux Karkaroff. Bien que les Nazarov n'attachent traditionnellement pas de grand intérêt à la pureté du sang d'autrui, ils ont toujours pris soin à ne se marier qu'entre eux, ne souhaitant pas même se mêler aux autres lignées de sang-pur. Maîtres pyromants de générations en générations et ce, depuis des siècles, les Nazarov accordent une importance tout particulière à leurs fiançailles, afin que leur don ne soit pas offert à n'importe qui. L'on dit que le feu du dragon coule dans leurs veines.

première branche ∞ deux membres vivants.
- aleksey k. nazarov.
- membre jouable.

deuxième branche ∞ un membres vivant.
- membre jouable.


La famille Поляков, ou Poliakov est historiquement parlant une famille respectable et ouverte d'esprit. Ainsi, selon le patrimoine familial transmis de générations en générations, les Poliakov se sont toujours présentés en tant que défenseurs du sang moldu. Ils demeurent d'ailleurs à ce jour la seule famille de sang-pur à avoir revendiquer devant tous leur amour pour les moldus, s'attirant ainsi la haine viscérale de toutes les autres lignées, qui les considèrent comme des "traîtres à leur sang". Humble famille de commerçants, ils ont cependant le sens des affaires et une fortune d'héritage assez conséquente. Ils n'hésitent ainsi pas à acheter de hauts fonctionnaires de l'état pour alléger le quotidien morbide de certains moldus. Famille militant dans l'ombre depuis longtemps, ils tentent aujourd'hui de se dévoiler et de contacter le jeune Andreï Kariavvov.

première branche ∞ deux membres vivants.
- membre jouable.
- membre jouable.

deuxième branche ∞ trois membres vivants.
- membre jouable.
- membre jouable.
- membre jouable.


La famille Распутин, ou Raspoutine (...)

La famille Федосеев ou Fedosseïev (...)

La famille Халтин, ou Khaltine est une des lignées pures de Russie les plus redoutées. (...)